Le dernier spectacle de l'Australian Dance Theater est d'une beauté à couper le souffle ! Melange de danse et d'art vidéo, d'une incroyable richesse et d'une grande densité, c'est une véritable claque visuelle. Et je ne vous parle pas de la musique electro minimaliste...
La chorégraphie de Garry Stewart est réglée au millimètre près, au "millidoigt" devrais-je dire tant les mains ont une importance capitale dans cette performance ! Augmentée par les effets vidéos (réalisés en direct) de Thomas Pachoud, la chorégraphie prend une nouvelle dimension, jouant du temps, le rendant malléable à l'inifini et provoquant des situations troublantes où les danseurs forment des duos avec leur doubles numériques.
C'est presque étourdissant tant on ne sait plus où porter le regard (et c'est justement le principe fondateur de Proximity) et on se laisse embarquer dans cette poésie du mouvement et du temps. Les danseuses et danseurs sont tous extrêmement doués et bluffants.
La musique minimaliste et ultramoderne de Benjamin Huey qui mise sur un electro inventif mais jamais démonstratif accompagne, souligne, porte les interprètes sans jamais se mettre au premier plan.
Bref, un seul conseil : courez-y !
La chorégraphie de Garry Stewart est réglée au millimètre près, au "millidoigt" devrais-je dire tant les mains ont une importance capitale dans cette performance ! Augmentée par les effets vidéos (réalisés en direct) de Thomas Pachoud, la chorégraphie prend une nouvelle dimension, jouant du temps, le rendant malléable à l'inifini et provoquant des situations troublantes où les danseurs forment des duos avec leur doubles numériques.
C'est presque étourdissant tant on ne sait plus où porter le regard (et c'est justement le principe fondateur de Proximity) et on se laisse embarquer dans cette poésie du mouvement et du temps. Les danseuses et danseurs sont tous extrêmement doués et bluffants.
La musique minimaliste et ultramoderne de Benjamin Huey qui mise sur un electro inventif mais jamais démonstratif accompagne, souligne, porte les interprètes sans jamais se mettre au premier plan.
Bref, un seul conseil : courez-y !