lors de nos étreintes falsifiées
tremblent nos mains
comme prises de folie
menteuses ! menteuses !
Oh! Tu regardes ces lignes
Sillons de chair, portée musicale
du tambour humain !
Nos yeux se glissent alors, peu à peu,
derrière nos têtes, en quête de vérité,
Oui ! Ouvrons le combat !
métal hurlant ! glaive levé !
Sans doute pourrons nous enfin couper
la tête de ces fantômes qui nous gouvernent
tremblent nos mains
comme prises de folie
menteuses ! menteuses !
Oh! Tu regardes ces lignes
Sillons de chair, portée musicale
du tambour humain !
Nos yeux se glissent alors, peu à peu,
derrière nos têtes, en quête de vérité,
Oui ! Ouvrons le combat !
métal hurlant ! glaive levé !
Sans doute pourrons nous enfin couper
la tête de ces fantômes qui nous gouvernent