Bashung, 7 ans déjà

Alain Bashung
 Tu manques, si tu savais...
Heureusement que tu planes sur mes papiers, que tu t'immisces entre mes virgules, que tu me souffles une prosodie.
Heureusement que tu m'aides à aimer ma voix, ou à tenter. C'est la même chose, dis-tu.
Sept ans déjà qu'on doit faire sans toi mais qu'au son de ta voix, on se met encore et encore à rêver.
Continue comme ça, dis-tu, continue comme ça.